Dans une maison de ville, vivait Maitresse Sady. Elle a plusieurs sujet qui vient lui rendre visite souvent pendant leur vacances ou tout simplement pour servir en tant que jardinier. Cette dernière, une femme ronde au charme indéniable, était connue pour sa dominatrice sévérité. Elle aimait superviser les travaux de jardinage, tout en étant vêtue de manière élégante, arborant un pantalon d'équitation moulant et des bottes en cuir.
Une matinée ensoleillée, Maitresse Sady descendit dans le jardin. Les bottes claquaient sur l'herbe verte, résonnant comme un rappel de son autorité. Le soumis, déjà à l'œuvre dans le jardin, portait des vêtements de travail ordinaires. Les tâches du jour semblaient d'abord ordinaires jusqu'à ce que Maitresse Sady énonce ses exigences particulières.
Maitresse Sady d'un ton autoritaire: Alors, aujourd'hui, je veux que tu t'occupes des orties. Ramasse les à mains nues et avec ta bouche. Montre moi ta dévotion envers ma demeure.
Le soumis, bien qu'intrigué par la demande inhabituelle, ne questionna pas l'ordre de Maitresse Sady. Il se mit à genoux, prêt à accomplir la tâche avec obéissance totale. Il commença à ramasser les orties, les prenant entre ses doigts avec précaution pour éviter les piqûres douloureuses. Maitresse Sady observa sont soumis avec un sourire de satisfaction, appréciant le dévouement qu'il montrait envers sa tâche. Elle s'approcha de lui, le regardant avec un air dominateur, et tendit une ortie fraîchement cueillie.
Maitresse Sady d'un ton dominant : Maintenant, mets-la dans ta bouche. Goûte à la douleur pour moi.
le soumis obéit sans hésitation, plaçant l'ortie dans sa bouche avec précaution. La sensation de brûlure qui envahit sa langue et ses lèvres était intense, mais il savait que sa soumission à Maitresse Sady était plus importante que sa propre douleur.
Le soumis avec effort : Oui, Maitresse Sady.
La journée se poursuivit avec le chien ramassant les orties à mains nues et avec sa bouche, sous le regard attentif de sa dominatrice. Les piqûres occasionnelles provoquaient des gémissements étouffés, mais il persévéra, montrant sa loyauté et son dévouement à Maitresse Sady.
Au fur et à mesure que le soleil déclinait dans le ciel, Maitresse Sady observa son soumis dans sa tâche ardue, appréciant l'image de sa dévotion totale. Sa présence dominante, vêtue de son pantalon d'équitation moulant et de ses bottes en cuir, ajoutait une dimension sensuelle à la scène, renforçant l'excitation du soumis.
Maitresse Sady avec satisfaction: Tu es un bon jardinier. Ta soumission me plaît.
Le soumis, épuisé mais honoré de servir sa dominatrice, sourit malgré la douleur des piqûres d'orties. Il savait que son rôle de jardinier allait bien au-delà des tâches ordinaires, qu'il était là pour satisfaire les désirs de Maitresse Sady, même lorsque cela impliquait de goûter à la douleur.
La journée toucha à sa fin, mais la relation entre Maitresse Sady et le chien se renforça encore davantage. Le jardinier dévoué savait que chaque tâche, même la plus inconfortable, était une opportunité de montrer sa soumission et de plaire à sa dominatrice. Dans ça magnifique maison, où le jardin était le théâtre de leur relation particulière, Maitresse Sady et le soumis continuèrent leur exploration de la soumission et de la domination, unissant leurs désirs dans une complicité qui dépassait les conventions. Chaque piqûre d'ortie ne faisait que renforcer leur lien, les transportant dans un monde où la douleur et le plaisir se mélangeaient, sous l'œil dominateur de Maitresse Sady.
